« Logé partout, mais enfermé nulle part, telle est la devise du rêveur de demeures. Dans la maison finale comme dans ma maison réelle, la rêverie d'habiter est brimée. Il faut toujours laisser ouverte une rêverie de l'ailleurs. »
C’est ce qui nous intéresse ici ;
Est-ce que les lieux où nous vivons, ceux où nous avons vécu, comme ceux où nous nous projetons, parlent de CE QUI NOUS HABITE ?

Une interview menée par Guillaume Baraïbar et Valentina Sciacca.
Musique : Valentina Sciacca et Sarah Fournier
Graphisme : Aude Battesti
Conseil : Esther Valencic

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